Se pourrait-il que l'introduction de méthodes de lecture sujettes à controverses, l'ajout de nombreuses matières accessoires comme l'anglais dès le primaire (hé, oui!) et la réduction du temps imparti à l'étude du français — alors qu'il s'agit d'une langue au code orthographique et au vocabulaire complexes de par son recours aux racines scientifiques pour les mots les plus simples (semaine/hebdomadaire, jour/diurne) — aient un rapport avec ce mauvais classement ?
Quel est également l'impact de l'immigration non francophone sur ces résultats désolants ? Xavier Darcos et Claude Allègre ont maintenu que son rôle n'était pas négligeable.
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